Courir. Tirer. Sauter. Tirer. Répétez. Voilà le concept de RunGunJumpGun expliqué en 5 mots. Merci de nous avoir lu et à bientôt !

… Plus sérieusement, il s’agit donc d’un platformer 2D qui vous fera perdre les pédales si vous ne supportez pas l’échec. Fort heureusement, j’ai été habitué à l’échec depuis ma naissance et c’est une seconde nature chez moi : c’est pourquoi j’ai directement accroché à ce die’n’retry addictif. Dans RunGunJumpGun, vous contrôlez votre personnage avec littéralement deux touches : une touche pour sauter (tirer vers le bas), et une touche pour tirer vers l’avant. Le système de saut fonctionne à la Flappy Bird : la gravité vous fait tomber sans cesse et il vous faudra doser avec précision les impulsions que vous voudrez donner à votre personnage.

L’intérêt du jeu réside dans la conception de ses niveaux extrêmement bien pensée. Vous aurez effectivement l’occasion de traverser 3 mondes différents comportant chacun une quarantaine de niveaux. Dans chacun des mondes, une nouvelle mécanique de jeu est introduite. Le premier monde nous introduit logiquement aux contrôles de base. Dans le deuxième monde, il est possible de traverser l’écran verticalement : lorsque vous en traversez le sommet, vous réapparaissez au bas de celui-ci. Enfin, le troisième monde introduit une interaction plus poussée avec l’environnement.

RunGunJumpGun promet de longues heures de plaisir masochiste avec ses parcours franchissables uniquement à condition de les avoir étudiés par coeur au pixel près, son bullet hell bon à vous faire avaler votre langue et les découragements d’un alien qui vous rappelle après chaque niveau que le Soleil est en train de mourir et à que notre existence est vaine et insignifiante. Du pur plaisir, quoi. Mais trève de bardage : regardez-moi plutôt ce trailer, et osez m’avouer qu’il ne vous donne pas envie.

RunGunJumpGun sortira le 31 août sur Steam pour Mac et PC à un prix encore inconnu.