[GC14] Mordheim : City Of The Damned

[GC14] Mordheim : City Of The Damned

L’art de l’escarmouche

Parmi les jeux présentés par Focus Home Interactive à la Gamescom, il y en a un dont le titre m’a immédiatement attiré, Mordheim : City of The Damned. Fan de Warhammer et du jeu de figurines Mordheim original, ce portage vidéoludique a su capter mon attention. Et autant couper court au suspense, le jeu s’annonce tout bon 🙂

Mordheim : City Of The Damned : Une bande de mercenaires humains

Une bande de mercenaires humains

Resituons d’abord le contexte. Mordheim est une ville de l’Empire, ancienne capitale de l’Ostermark, dévastée après la chute d’une comète que ses habitants considéraient comme un présage divin. Après l’impact, des forces du Chaos commencent à surgir de la ville et ses environs, qui sont mis en quarantaine. Seules quelques bandes de pillards et d’aventuriers osent s’aventurer au milieu des décombres, divisées en factions. Quatre d’entre elles seront disponibles au lancement : les mercenaires humains, les possédés, les Skavens (des hommes-rats) et les Sœurs de Sigmar. Que les amateurs du Mordheim original se rassurent, les développeurs comptent bien proposer in fine toutes les races disponibles, soit en bonus de précommande ou d’édition collector, soit en DLC.

Avant de vous lancer dans une escarmouche, vous devez former votre équipe en choisissant cinq soldats parmi ceux proposés : épéistes, archers, mages, berserkers, « super-balèzes », le choix est assez étendu pour offrir un panel de possibilités suffisamment large. De plus, chaque personnage est 100% personnalisable, de son apparence à son équipement, vous permettant de créer des unités différentes à chaque nouvelle partie.

Mordheim : City Of The Damned : Le chef d'une bande Skaven

Le chef d’une bande Skaven

D’une mission à l’autre, vos troupes gagnent de l’expérience, à attribuer à leurs différentes caractéristiques. Les points d’XP obtenus sont liés à chaque perso et sont conservés tant qu’il reste en vie. Si l’un de vos combattants vient à mourir sur le champ de bataille, il est perdu pour toujours, la mort étant définitive dans Mordheim. De même, les blessures graves comme l’amputation d’un membre ou la perte d’un œil se répercutent visuellement sur vos troupes, ce qui peut également entraîner des malus de mouvement ou de visée. Rassurez-vous, il sera toujours possible de recruter de nouveaux hommes pour remplacer ceux que vous avez perdus.

Le jeu se joue globalement de la même manière que le Mordheim original, les développeurs n’ayant dû concéder que quelques aménagements à la mécanique de jeu pour cette adaptation vidéoludique. Ainsi, les troupes engagées jouent chacune individuellement par ordre d’initiative et non par camp entier. Il n’y a pas non plus de couvert « actif » mais si l’un de vos personnages se trouve derrière un élément de décor comme une barrière, une charrette abandonnée ou un tonneau, il bénéficie automatiquement d’un bonus face aux attaques adverses.

Mordheim : City Of The Damned m’a l’air très prometteur, je ne manquerai pas de vous en reparler quand la version finale sera disponible. La seule chose qui me fait peur c’est un nombre de DLC possibles plutôt conséquent avec toutes les factions existant dans le monde de Warhammer.

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